INVENTER MAIS NE PAS REVER

Repose pied automatisé

 
L'inventeur BEDU Georges partage son expérience de son invention.
Date de sortie:  2005
Où en est votre invention: 
En cours
Les sommes investies: 
5000 à 30000 €
Investissement amorti: 
non
Votre échec est dû: 
A mon manque de financement

 

2003 - 2004  -  2006  -  3 demandes de brevets ou je me trouve en galère pour trouver des financements, mais n'étant pas créateur d\'entreprise, en vous dit on ne peut rien pour vous: " MERCI LA FRANCE", il faut néanmoins être tenace si votre projet est brevetable, et qu'il puisse intéresser une PME, quitte à le faire fabriquer et commercialiser à l'étranger.

Depuis 2003, je me débrouille seul pour toutes les démarches. j'ai fabriqué un 1er proto moi-même, effectué la demande de brevet (1ère  demande) avec l'aide de l'INPI de LILLE, puis quelques conseils d'une association d'inventeurs qui est d'ailleurs dissoute.

En 2004 ne trouvant pas de partenaires industriels, puis les moyens financiers nécessaires, j'ai donc en tant que petit retraité tout stoppé. La demande de brevet s'étant retrouvé en certificat d'utilité public.

J'ai donc souhaité faire évoluer ce premier proto, vers un appareil plus sophistiqué, j'ai donc contacté une école d'ingénieurs sur LILLE qui a été partie prenante pour m'aider dans mes démarches, ceci pendant une année. (2005-2006).

Une nouvelle demande de brevet à été effectué fin 2006, puis la galère pour trouver une PME qui serait intéressé par un nouveau produit innovant.( 30 PME=18 départements) résultat négatif car il voulait tout savoir gratuitement.

J'ai enfin, aprés bien des démarches trouvé une PME dans le NORD qui aide les inventeurs depuis la fabrication d'un proto, étude de marché mise en relation avec des industriels pour aller soit vers un contrat de licence d'exploitation de brevet ou vers la cessation du brevet.

Dans le domaine qui me concerne, (domaine médical) j'ai rencontré différents organismes de santé qui m'on donné un avis favorable sur mon projet avec courriers à l'appui ce qui m'a  conforté dans la continuité de mon projet.

J'ai par ailleurs été contacté par une société de la Charente Maritime, forte intéressée par mon projet pour l'installer dans des structures pour personnes âgées.

En ce qui me concerne il n'est pas question d'aller voir un conseil en propriété industriel, pour un avocat spécialisé j'attendrai le moment favorable.

Il n'est pas question n'ont plus de débourser x euros.

30 Novembre 2015  :  

mon repose-pied automatisé dont j'ai reçu mon brevet en mars 2011 n'a pas trouvé preneur et de plus les frais devenant exorbitant.

Par contre, mon repose-pied manuel et toujours d'actualité avec un accompagnement d'une PME pour la partie technique(tuteur externe) et L'école supérieurs nationale des Mines de Douai (tuteur interne) pour l'ensemble des études avec signature le 16/11/2015 d'une convention de projets avec toutes les parties participantes, fin des études mars 2016, puis mise en place avec l'incubateur APUI de cette école pour la recherche d'investisseurs.

 

Date de mise à jour: 
Mercredi, Octobre 15, 2008

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